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Atelier 102 Gigi
J e fuyait mon monde, qui sonnait
comme un vieux concerto de Mozart.
Ma tête était dans un requiem pour une folle.
Fuite, vite une ouverture, ma sonate était laide,
comme l'homme qui voulait me taper, me faire souffrir,
une fugue en allegro, comme la fin d'un roman policier
sans suite, sans lendemain, sans vie.
Jouer serrer et fuir loin de ce fou qui m'aimait.
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Commentaires
Mille merci pour ce super texte car pas facile avec les mots que j'avais donné !
Et je dois te faire mes félicitations pour ce beau décor de blog que tu as choisis Viviane !!!
Je vais mieux oui, je reste assise sans douleur c'est déjà ça !! Merci
Gros bisous Viviane......
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tu as réussi à relever le défi bravo
bisou bisous